Événement majeur des derniers mois, l’élection présidentielle française a connu son dénouement. Si l’immobilier a souvent été le grand oublié du débat, il n’en reste pas moins un enjeu majeur du prochain quinquennat.
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L’inflation a elle été au cœur des discussions durant cette élection. L’immobilier est souvent présenté comme un investissement intéressant en temps de forte inflation. Mais cela se vérifie t-il toujours ?
Dans la majorité des grandes villes françaises, les prix de l’immobilier continuent d’augmenter. Notamment dans l’ancien.
A contrario, ils sont en baisse dans la capitale et atteignent des prix qu’on ne voyait plus depuis le début de la crise sanitaire.
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En ce qui concerne l’offre de biens, celle-ci reste insuffisante en province. Tandis qu’à Paris les acheteurs reprennent le pouvoir.
Les taux de crédit immobilier continuent d’augmenter et les banques en ligne qui proposaient habituellement des taux plus bas s’alignent désormais sur les taux des banques traditionnelles.
Les taux d’usure sont eux à la baisse. Souvent méconnus du grand public, ils sont pourtant un élément clé du crédit immobilier.
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On commence à voir les premières conséquences du nouveau diagnostic de performance énergétique sur le marché de l’immobilier. Comme on pouvait l’imaginer le nombre de ventes de passoires thermiques s’accélère.
Le reste de l’actualité du mois d’avril en vrac :