En mai comme en juin, les taux de crédits immobiliers ont continué d’augmenter. Ils ont atteint en moyenne 1,52% le mois dernier. Si ces derniers restent attractifs, la tendance reste malgré tout à la hausse.
- Les taux immobiliers remontent
- Les taux immobiliers poursuivent leur hausse, écartant un peu plus certains ménages de l’accès au crédit
De leurs côtés, les prix des logements se stabilisent dans les grandes villes et laissent entrevoir un retournement du marché. Sur le premier semestre de l’année, la hausse n’est que de 1,7% alors qu’elle avoisinait les 4% l’année dernière sur la même période.
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Les conditions d’octroi des crédits immobiliers se sont durcies et il est aujourd’hui plus difficile pour les ménages d’emprunter. Ils doivent notamment bénéficier d’un apport plus important et la durée du crédit ne peut plus dépasser 25 ans.
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La hausse du principal taux d’intérêt de la Banque Centrale européenne (une première depuis 11 ans) ne va pas non plus dans le sens des emprunteurs qui vont voir leur capacité d’emprunt réduite.
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Malgré des conditions défavorables et une inflation élevée, il peut malgré tout être intéressant d’investir dans l’immobilier.
Afin de faire face aux difficultés d’accès au crédit rencontrées par certains ménages, le ministère de l’Economie et des Finances se dit prêt à reconsidérer la méthode de calcul du taux d’usure.
Il est possible depuis le 1er juin de changer d’assurance emprunteur. Voici quelques conseils si vous prévoyez de changer de contrat.
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L’encadrement des loyers est lui renforcé par les députés afin de protéger les locataires de l’inflation.
Prévue initialement pour le 1er septembre, l’obligation pour les propriétaires de fournir un audit énergétique de leur bien est repoussée à 2023. Malgré un nombre de passoires thermiques encore très élevé.
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